SIEGFRIED
BARCELONA | CHICAGO | LONDON |
CHICAGO - MARS 2005 |
Treleaven donne un formidable élan et une énergie infinie à l' histoire de trahison, perfidie meurtrière et rédemtption . Avec sa stature imposante et belle, Treleaven correspond tout à fait au personnage charmant, que Wagner avait envisagé pour son jeune héro impétueux. Des beaux ténors, qui par dessus le marché sont capables de couvrir l' énorme orchestre avec la melodieuse partie soutenue de Siegfried, sont rares. Treleaven réussit très bien à remplir cette tâche presque impossible. Il est incontestablement un sympathique Siegfried humain. |
Chicago Sun Times |
Treleaven était simplement étonnant. Il n'y a pas beaucoup de Wagnériens, qui savent schanter ce rôle difficile et y réussissent sans peine. Il joue l' héro crédule avec tant de vivacité pétillante. ... il chante superbement et à la fin d' une longue soirée il sonne encore autant frais comme au début. |
Chicago Tribune |
Le Siegfried du ténor anglias John Treleaven était admirable, avec une force vocale, physicalité et la juste mesure de naivité. |
Associated Press |
L' aimable Siegfried de John Treleaven... l'imposant ténor anglais est un beau Siegfried robuste, plein de curiosité intelligente et de dynamisme juvenile. Miraculeusement, il possède assez de force vocale pour le céleste finale avec Brünnhilde. Il est un grand ténor héroique, toujours brillant. |
Chicago Sun Times |
Treleaven est la révélation de la reprise de la production d'August Everding de 1996 et le ténor anglais preuve que son succès n'est pas un hazard. Siegfried se transforme d' un écoissais muet en omniscient héro passionant. Cet évolution est illustré clairement par la force vocale et la persévérance de Treleaven. La légèreté naturelle avec laquelle il bouge sa figure imposante sur scène persuade également. Sa voix solide et son ricanement juvenile nous racontent beaucoup de cet héro impulsive, qui tue le dragon, se chope de l'or et finalement gagne la fille sommeillante. |
Chicago Tribune |
John Treleaven était un grandiose Siegfried avec du matériel héroique et une hauteur incroyable. Une fois de plus il nous surprend pas seulement avec ses Cs majeurs dans 'Götterdämmerung'. Il incarne purement et simplement le type d' acteur-chanteur et il montre un développement énormément sensible de garcon curieux en héro sachant. L' intensité et l'humanité de ses explications avec David Cangelosi était un des clous de ce 'Ring' et montrait quel potentiel se trouve dans le premier acte - souvent sousestimé - de Siegfried. |
Der Neue Merker
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Siegfried – Wiener Staatsoper
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Pure joie! Un début-Siegfried
longuement attendu par les fans de Wagner à Vienne a complètement
satisfait tous les amateurs d’opéra, qui veulent entendre
plus que seulement une voix : John Treleaven à preuvé
d’ être un artiste de haut calibre. Non seulement chante-il
ce rôle gigantesque de Siegfried plus souverainement d’
un acte à l’ autre, non seulement est-il un chanteur musical
et un acteur impressionant, non seulement est-il parfait pour ce rôle
à cause de sa stature physique et sa figure, mais il possède
aussi une naivité rafraîschissante et un charme juvénile,ainsi
que des sentiments profonds, une vision d’un monde noble et une
force pathétique, que font de Siegfried cette créature
magnifique, à qui Wagner à dédié son cinquième
opéra. ( Un simple vaurien ou un batailleur certainement n’auraient
jamais interessé Wagner – aucun de ses personnages est
si uni-dimensionel.) Treleaven, qui possède une voix parfaitement
controllée et indéfiniment flexible, ne produit jamais
une note qui n’est pas belle ; sa voix moyenne et son piano sonnent
aussi bien que ses hauteurs retentissantes. Mais ce qui est encore plus
réjouissant est que sa voix, son visage et son corps sont un
seule intermédiaire, utilisé pour laisser voire et entendre
la riche vie interieure de ce ‘garcon’ . Souvent, la couleur
vocale et son expression du visage changent plusieures fois en quelques
secondes. Pendant sa rélévation ‘So starb meine
Mutter an mir’ le temps s’ arrête pour nous et pour
lui. Visuellement la ‘Waldweben’ scène est un psychotrip
à travers l’âme d’un orphelin, et quand Siegfried
entend la voix de l’ oiseau des bois le spectateur remarque une
embellie de voix et regard , qui laisse déjà pressentir
le ‘sonnige Höh’ dans le troisième acte. Sur cette voyage il est accompagné, comme dans sa première entrée en scéne, par son insouciant et joyeux rire. C’ est pourquoi que je trouve que sa présentation du personnage est plus touchante que celle de tant de Siegfrieds avec leurs fastes et leurs hurlements.Quand Brünnhilde se réveille, elle n’éveille pas seulement les peurs de Siegfired, mais surtout un pressentiment curieux. Comme s’ils avaient répété depuis des semaines, Watson et Treleaven, qui n’avaient jamais été sur scéne ensemble, se sont trouvés. A la fin ils se trouvent sur l’écueil se donnant spontanémant la main et ils démontrent aux spectateurs le ravissement de leur amour – un finale digne de deux enfants de Dieux |
Der Neue Merker |
Ainsi avec John Treleaven l’opéra tient de nouveau un nouveau jeune Siegfried, qui persuade comme chanteur et comme acteur. Car Treleaven chante Wagner, il tient d’ endurance et avec sa voix mince et clairement timbrée il surmonte tous les obstacles vocaux. |
Wiener Kurier
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Siegfried – Ring Helsinki 2004
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John Treleaven était le plus excellent chanteur/acteur dans Siegfried et Götterdämmerung. On a l’ impression que son ténor a gagné encore plus d’or dans les hautes notes. Ses réserves à la fin de Siegfried semblent presque inépuisables et il n’ existe aucun chanteur pour le moment, qui sait égaler son do majeur dans la scène au Rhine dans Götterdämmerung. Son interprétation de „Seliger Öde auf sonniger Höh’“ se caractérise par beaucoup de lyrisme et des magnifiques legatos. Par-dessus le marché il est un acteur charismatique, ce que fait de lui toujours un sympathique Siegfied et à cause de sa stature, un noble et credible héro. |
Der Neue Merker |
Le Ring' de l' Opéra
National de Finlande introduit quelques ténors étonnants.
Surtout le rôle de Siegfried est décisif, parce que sans
un Siegfried convaincant, on peut complètement oublier cet opéra.
John Treleaven est sans doute un des ténors forts les plus brillants
de nos jours. Il chante le monologue fatigant à la fin du premier acte, sans se ménager et pourtant il réussi à sonner vif et intense au grand duo dŽamour final. Sa jeune voix claire nous souveint du ténor éminent des années 60, Wolfgang Windgassen. |
Matti Lehtonen / Turun Sanomat 24.8.2004
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